Pas d'expériences génétiques avec nos enfants!

En 2020, 0,04% des personnes âgées de 10 à 19 ans sont mortes au Luxembourg (cf. https://www.expressis-verbis.lu/2021/04/04/pandemie-2020/?lang=lu). Nous ne savons pas combien d'entre elles sont mortes du ou avec le covid-19. Selon une étude récente d'Angleterrehttps://www.bbc.com/news/health-57766717.amp), le risque qu'une personne de moins de 18 ans meure de covid-19 est de 2 sur un million et de 20 sur un million pour se retrouver dans une unité de soins intensifs. En revanche, selon l'étude Pfizer, les 12-15 ans ont souffert 0,4% d’effets secondaires graves (https://report24.news/pfizer-studie-79-geimpfter-kinder-ueber-12-jahre-entwickelten-nebenwirkungen/) En 2020, nous avions environ 26 000 personnes au Luxembourg âgées de 12 à 15 ans. Si toutes étaient vaccinées, il y aurait environ 106 jeunes avec des effets secondaires graves. Notons que l'étude Pfizer n'a duré que quelques mois et donc aucune donnée empirique sur les risques à moyen et long terme n'existe. Néanmoins, les informations dont nous disposons indiquent des dangers majeurs (https://childrenshealthdefense.org/defender/what-we-know-may-never-know-about-covid-vaccines , https://childrenshealthdefense.org/defender/reasons-not-getting-covid-vaccine, https://vaccineimpact.com/2021/cdc-adds-over-2000-deaths-associated-with-covid-19-shots-in-one-week-917-unborn-baby-deaths/).

Contrairement à ce qui est affirmé, à savoir que les injections contre le covid-19 ont été testées en détail, les tests de phase 3 sont loin d'être terminés. Ils sont en cours chez Moderna jusqu'au 27.10.22 (https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04470427?recrs=d&cond=COVID19&phase=2&draw=3&rank=55), bei Pfizer bis den 2.5.23 (https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04368728?term=NCT04368728&draw=2&rank=1), bei AstraZeneca bis  den 14.2.23 (https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04516746?recrs=d&cond=COVID-19&phase=2&draw=2&rank=8) a bei Janssen bis den 31.5.23 (https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04614948?recrs=d&cond=COVID-19&phase=2&draw=2&rank=35). D’Etüd vu Moderna fir Jugendlecher vun 12 bis 17 Joer leeft bis den 30.6.22  (https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04649151?recrs=d&cond=COVID19&phase=2&draw=2&rank=85).

À ce jour, il n'existe pas de vaccin covid-19 homologué (cf. p.ex. https://www.fda.gov/media/144414/download). Ce qui nous est pratiquement imposé en tant que « vaccins », ce sont des thérapies géniques expérimentales, qui sont vendues aux États-Unis dans le cadre d'une emergency use authorization (EUA, cf. https://www.fda.gov/emergency-preparedness-and-response/mcm-legal-regulatory-and-policy-framework/emergency-use-authorization) et en Europe via une conditional marketing authorization (CMA, https://www.ema.europa.eu/en/human-regulatory/marketing-authorisation/conditional-marketing-authorisation). Une condition préalable à l'obtention d’une EUA ou CMA est qu'il n'existe pas de méthodes de traitement alternatives. Si du côté officiel on n’avait pas maudit et interdit toutes les méthodes de traitement efficaces qui existent depuis longtemps (https://www.expressis-verbis.lu/2021/04/12/wirksame-medikamente-gegen-covid-19-aus-der-taeglichen-praxis/), alors aucune des thérapies géniques expérimentales n'aurait pu recevoir d'EUA ou de CMA.

En outre, il convient de noter que le 15 juillet 2020, le règlement de l'UE sur le génie génétique a été modifié pour permettre le test des "vaccins" à ARNm et à ADN, car ceux-ci sont soumis à la directive de l'UE sur la dissémination d'organismes génétiquement modifiés (cf. https://laufpass.com/corona/die-kindswohlgefaehrder).

Même la Commission permanente de vaccination en Allemagne (STIKO, https://www.rki.de/DE/Content/Kommissionen/STIKO/stiko_node.html) ne recommande pas de vacciner les enfants, car « il y a encore trop peu de données et d'expérience sur la sécurité de la vaccination chez les enfants » (https://www.rki.de/DE/Content/Infekt/Impfen/ImpfungenAZ/COVID-19/Infoblatt_Impfung_Kinder_und_Jugendliche.pdf).

Il s'agit donc très clairement d'une expérience de génie génétique, à laquelle nos enfants devraient être soumis. Après que la population adulte n'a pas été systématiquement informée par la santé et les médias sur la nature réelle des soi-disant vaccins, chez les enfants encore plus de problèmes juridiques se posent, que nous ne détaillerons pas ici. Mentionnons uniquement la Déclaration d'Helsinki ( (https://www.wma.net/what-we-do/medical-ethics/declaration-of-helsinki/), le Code de Nuremberg (cf. https://media.tghn.org/medialibrary/2011/04/BMJ_No_7070_Volume_313_The_Nuremberg_Code.pdf) et la « Convention pour la protection des Droits de l'Homme et de la dignité de l'être humain à l'égard des applications de la biologie et de la médecine : Convention sur les Droits de l'Homme et la biomédecine » (https://www.coe.int/en/web/conventions/full-list/-/conventions/rms/090000168007cf99?module=treaty-detail&treatynum=164) verwisen.

En raison des avantages potentiels pratiquement inexistants et du risque pour la santé, qui se présente d’ores et déjà comme étant beaucoup plus élevé, d'un point de vue sanitaire, il est difficile de comprendre comment on pourrait avoir l'idée d'exposer son enfant à un tel traitement.

Mouvement FAIR, 18 juillet 2021